
Bien que les principaux attraits touristiques aient rouverts dernièrement, beaucoup reste à faire. Nous ressentons une résilience incroyable des locaux qui parlent de leur ville avec cœur et une forte appartenance. Ils font la promotion de leur ville de façon extraordinaire. Cela nous donne le goût de la visiter et participer comme on peut à la réémergence économique malgré les dommages évidents. Nous avons débuté par un tour de barque sur la rivière Avon qui traverse une partie de la ville. L’incontournable Tramway pour se promener dans les lieux touristiques nous permet de délaisser la poussette.
Le dîner à Cathedral Square est court, mais significatif. Malgré la présence de plusieurs personnes, il n’y a pas grand monde qui parlent. Tous regardent en silence l’icone de la ville en ruine, l’historique cathédrale dont la tour de 63 mètres s’est complètement effondrée. Nous prenons le temps de boire notre traditionnel café et sucrerie d’après-midi avant de visiter une partie du musée de Canterbury. On n’a pas résisté au tour de « catapillar » électrique au jardin botanique où nous manquions un peu de créativité pour motiver les enfants à avancer, et surtout parce que nous y aurions passer la journée tellement c’est grand.
On a aussi consacré une journée pour faire un tour de gondole sur le mont Cavendish. La route pour s’y rendre est encore fermée dû aux fortes secousses. On a ensuite une soudaine « écoeurantite » de manger toujours la même affaire. On remarque donc le irish pub de la charmante petite ville portuaire de Lyttelton.

Finalement, on a visité la réserve de Willowbank wildlife où nous avons enfin pu observer nos premiers Kiwis, animal emblématique de la Nouvelle-Zélande, et nos premiers kangourous tant attendus par les enfants. Nourrir les daims, observer les gros cochons et les anguilles ont été populaires, de même que traire une fausse vache pour Magalie.
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